<<Silence,silence!!!! Le cour d'aujourd'hui va porter su....>>
Encore les même ineptie, quel que soit la branche de la magie c'était
toujours la même lassitude, quoi que cette fois si mon engouement avait
été soufflé à vitesse grand V. Le souffle des paroles psalmodié par le
maître durant sa démonstration des mil et une application des sort de
vent et les soupir d'admiration du publique ébaillit par la performence
pour le moin dérisoire du senseur qui dirigais, tel un chef d'oquestre,
des volupte de pousiére argentés que muet un banal sort de tornade de
faible empleur. Cette ébétude grotesque me dégouter et sans m'en rendre
compte je commençais déjas a sortir de la classe.
<<-L'énergie doit étre à la fois libre et comptenu vous...Jeune homme ou aller vous comme sa ?
-Sans vous manquer de respect monsieur, je me
sentirais mieux dans une quermesse gobline que dans votre classe. Je
vous laisse donc monsieur avec vos admirateurs.>>
Les paroles m'avais échapper mais le choque de mon élocanse laissas
le sage sans vois, se qui permit à mes jambes sur les quel je n'avais
plus non plus d'emprise de me mener vers la porte.
Une fois à l'aire libre je me rendis compte que je venais de quiter
la derniére école de magie de la ville et qu'il ne me restais plus de
réel objectif j'avais fuit le logie pour devenir un mage et celas sans
prévenir comme j'avais sistématiquement quité tout les vois de la magie
qui m'avait été donné de connaitre. Que pouvais-je bien faire ?
Alors que les pavets, laissaire place à la terre battue et au herbe
folle mon esprit comptinue de volater d'une possibiliter à une autre.
Le mujissement de mon estomas me fis sortir de ma trans j'étais en
pleine forêt, je ne reconnaisser plus rien nul maisonnets ou chemin
allentour, la rage me gagnas je venais de me perdre et je n'avais rien
sur moi pour sur vivre j'étais seul et abandonner en plaine nature
ostil. Mon esprit commensa a immaginer mile et une solution fantasque
tel que insinérer une partis e la forêts affin de pouvoir en sortir ou
encore élager les harbre a courp de lamme de vents mais c'est réactions
me s'emblais démesurer.
Combient de temps avais-je encore divagais, la fin me tirailler le
ventre tel qu'il émaiter des rugissement, d'énorme rugissement même ou
plutots des hurlement, oui des hurlement de loups. Non, je me rendis
compte que ses hurlements ne provenais pas de moi mais de l'énorme
loups qui se tenais en fasse de moi, bizarement sa taille ne me fis pas
frissonner son regard étais presque humain comme si ils s'agissait d'un
homme ce cacher sous ces traits animaux.
VOICI LA FIN DE MON HISTORICAL LE RESTE SERAS DISPONIBLE DANS LA
SECTION DES FORET JE NE PEUT DIVULGER PLUS SUR SE PERSONNAGE CAR SINON
SELAS GACHERER UNE PARTIE DU RÔLE PLAY