Night.

Tout commence dans les terres lointaines de Nelgas, dans la cité de Genésis.

[hRP]Je demandes à tout le monde de dire quelle note il me donnerai, je ne peux pas me noter moi même objectivement
[/hRP]

Chapite1
Tout commence dans les terres lointaines de Nelgas, dans la cité de Genésis...Cette merveilleuse cité tient sa réputation de ses tissus et vêtements de très bonne facture .Toute l' activité de la ville repose sur les activités du textile.

Le plus grand couturier, créateur de vêtement et aussi le directeur du travail des tisserands est un homme du nom de Grallon, surnommé"le bien heureux" pour son sourire légendaire .Très apprécié de ses employés et de tous les habitants pour sa nature généreuse, charitable et pour le respect qu'il a de toute personne quel que soit son rang ce qui est fort choquant pour l'époque mais, qui ne nuit pas à sa réputation.

En plus d'être aimé riche et bien portant, Grallon est uni à :"La plus belle femme que dieu est jamais faite."...selon ses propres dires. Silvia, une femme généreuse et d'une patience infinie.

Il en faut car bien que sociable son mari s'avère exubérant à la longue...

Elle avait de grand yeux noirs et doux, une chevelure d'un noir profond comme la nuit...

Une nuit naquis un enfant cette union.

Mon père me pris dans ses bras un instant, j'ouvris les yeux, il dit alors que j'avais les yeux de ma mère...

Il me posa sur le sein de ma mère, et je souris, ma mère dit alors que j'avais le sourire de mon père.

Ensemble, ils décidèrent de m'appeler Night...

J'eue l'enfance la plus heureuse possible, grandissant entre des parents attentifs, Nany, la bonne du foyer, qui avait un coeur d'or, et une population dont l'admiration pour mon père se répercutait sur moi.

Mon père bien que surchargé, eue toujours la priorité de mon éducation, il m'apprit à respecter autruit car chacun à des sentiments et à droit d'aspirer au bonheur.Il m'apprit a quel point un peu de chaleur humaine, son fameux sourire ne coûtait rien à personne et rapportait beaucoup. Il donnait du courage et du réconfort aux autres et à soit même, il donne tout son sens à un "merci" ou à un"enchanté" ainsi qu'à toutes les formules d'usage qui n'ont plus de valeur humaine à force d'être dîtes par automatisme...

Ce sourire enfin dégageait une telle chaleur et une telle franchise, qu'il donnait à mon père le charisme qui lui avait valu de réussir en affaire.

Ma mère m'apprit l'écoute, l'attention, et le plaisir simple de la contemplation de la nature.

Huit ans se passèrent dans ce cadre idyllique ou malgré ma candeur j'acquis une certaine lucidité et malgré ma chance je ne devins jamais égoïste ou imbus de moi-même.

Un jour d'été comme les autres, ou le soleil était magnifique ou les oiseaux chantaient, ou sur la place du marché l'on admirait les dernières créations très colorées de mon père,

la ville poursuivait sa routine si dynamique, un homme frappa à la porte, mon père demanda à Nany d'ouvrir, elle accourut, un homme en noir, avec un chapeau haut de forme se tenait derrière la porte. Un homme du village accouru aussitôt

-Grallon!N'ouvres pas ce type est fou!

L'homme en noir était un puissant magicien de l'ombre il tua sans hésitation était un puissant magicien de l'ombre l'homme qui venait de prendre le risque de nous avertir.

Alors que mon père accourait je me suis caché près du hall où je pouvais voir la scène. Il chargea alors le même sortilège mortel pour viser mon père.

Nany s'interposa mon père attrapa Nany, avant qu'elle ne touche le sol, mais elle était bien morte.

Je me saisis d'une épée décorative au mur puis je suis passé discrètement derrière l'assassin.

Je levais l'épée au-dessus de ma tête pour le frapper, je n'avais plus qu' à abattre l'épée pour le tuer, il était impossible que je puisse le rater, ma mère vient voir à son tour ce qui se passait elle se jeta devant un second sort qui visait lui aussi mon père. Je tremblais toujours incapable de frapper. Il eue tout le temps de charger un dernier sort d'ombre, mon regard croisa une dernière fois celui de mon père, et son dernier sourire fut pour moi...

L'homme se retourna et me vit tremblant, pétrifié brandissant mon épée...

-Ainsi tu aurais pu me tuer et tu ne l'as pas fait?

-Je...

-Tu as tués tes parents!

-Non!!!

-Ho si! Tu pouvais les sauver, tu n'avais qu'à abaisser cette épée et tu les sauvais tous les deux, tu ne pouvais même pas bouger un tout petit peu pour sauver tes parents ? Alors que la bonne qui aurait sûrement une belle part d'héritage à y gagner s'est sacrifiée pour eux?

-Mais...

-Tu avais leurs vies entre tes mains et tu as choisi de les laisser mourir ! C'est aussi simple que ça!

A ces mots, je sentis quelque chose d'irréparable se briser en mon âme.
L'épée tomba à mes pieds avec fracas.

-Je...Ne pouvait pas tuer...

-La compation! L'excuse de ceux qui sont trop faibles pour prendre une décision . Regardes tes parents et cette femme! Voilà ou la faiblesse les a menée, et toi tu subiras bien pire. le poids de tes regrets pour toute une vie!

-Pourquoi mon père?

Dis-je en laissant littéralement expulser mon désespoir et une pointe de rage qui lui fit esquisser un sourie mais celui-là était un sourire malsain.

-Suis moi et tu sauras.

Aucune logique n'aurait pu expliquer ce choix, mais je le suivis...

[HRP : Alors je vais t'imiter... ^^
Tu as choisi de mettre tout cela à la première personne afin de faire parler Night lui même, et de nous montrer ses pensées, seulement, comment peux t-il se rappeler de ce que ses parents lui ont dit sur l'apparence de ses yeux alors qu'il était tout bébé et qu'il ne savait pas encore parler ?

"L'homme en noir était un puissant magicien de l'ombre il tua sans hésitation était un puissant magicien de l'ombre l'homme qui venait de prendre le risque de nous avertir." ==> petit problème

Sinon c'est franchement bien !! Bravo

Je te donne une note de 64 XP parce que tu fais bien ressortir le caractère de ton personnage, et comment il l'a acquis. ]

Yuni a écrit:

[HRP : Alors je vais t'imiter... ^^
Tu as choisi de mettre tout cela à la première personne afin de faire parler Night lui même, et de nous montrer ses pensées, seulement, comment peux t-il se rappeler de ce que ses parents lui ont dit sur l'apparence de ses yeux alors qu'il était tout bébé et qu'il ne savait pas encore parler ?
On aura pus lui raconter et lui il nous raconte ça en tant qu'adulte...

"L'homme en noir était un puissant magicien de l'ombre il tua sans hésitation était un puissant magicien de l'ombre l'homme qui venait de prendre le risque de nous avertir." ==> petit problème

Oui...

Les autres?

On écrit bienheureux collé, comme pour malheureux, selon toute logique et mes souvenirs...Et il a certains détails que l'on aurait pu passer et qui font tâche comme:

Hunter a écrit:

Il en faut car bien que sociable son mari s'avère exubérant à la longue...

Sinon c'est pas mal, même si le point de départ idyllique n'est pas à mon goût, sans compter ça, je te mettrais 57Xp.

La suite mon mon existence fut marquée et même dirigée par la noirceur d'âme et la folie de mon tuteur.Il se faisait appeler Faust XXIII et pensait être la réincarnation de Faust premier.

Il m'apprit les rudiment des arts occulte:

-La magie noire est la magie la plus noble qui soit, elle ne fait presque pas de dommage physique, elle broie l'esprit de ta cible, rien n'est plus délectable que de voir un ce ces imbéciles qui croient au bonheur sans poursuivre le pouvoir retrouver la raison avant de succomber à ses regrets...
-C'est terrible!!!
-C'est la loi fondamentale qui régit le monde, les forts écrasent les plus faibles pour continuer a exister et rester fort, les faibles s'abritent derrière des illusion dérisoire, que le vent fait s'écrouler comme un château de carte.
-Comme quand vous avez détruit ma vie
-Comme quand j'ai détruit tes illusions.
-La vie de mes parent et de Nany, n'était pas une illusion!!!
-Elle était une illusion de bonheur, une vaste mascarade dont tu me dois d'être sortit.

A force de me l'entendre dire, je finit par le croire...

Je m'entraînait à l'aide d'un sceptre a atteindre des cible à l'aide de boule d'ombre, tout les soirs, nous mangions ensemble dans la salle obscure de son palais, il ne se refusait rien et m'a convenablement nourrit.Durant les repas il me parlait sans cesse des exemple dans la nature ou les fort tuer les faible pour prolonger leurs vies, généralement de histoire de prédateur et proie.Me rappelant parfois que la viande que je mangeais était celle d'un pauvre animal, et que même si je me nourrissait de légume, alors ils faudrait pour moi vivre que j'affame d'autres animaux qui aurai pu être plusieurs à s'en nourrir, a force, cela ne me coupait plus l'appétit tuer pour vivre était normal.

Faust XXIII vivait par des contrats de tueur à gage parfois on faisait appel à ses pouvoir de nécromancien pour rappeler quelqu'un des morts, mais c'était plus rare, et plus cher...Il passait le reste de son temps à m'apprendre la magie et à poursuivre sa quête de l'immortalité.
Il cherchait les reliques de ses vies passées les journaux de Faust Ier Et FaustIII qui contenaient selon lui, les secrets de l'immortalité.

Un jour je lui ai demandé la différence entre un faible et un fort, il me tendit une pomme de sa poche, il mettait un pomme dans sa poche le matin, durant la journée il la lançait en l'air et la rattrapait durant ses réflexion et il la mangeait le soir, de sorte qu'il avait toujours une pomme sur lui quant-il était éveillé.Il me dit d'attraper la pomme, comme à notre première rencontre?Je ne parvint pas à l'attraper.
Il me dit que tant que je douterai je ne pourrai pas attraper la pomme et je serai faible. Presque tous les jours après ce jour la, je fit une tentative de dérober cette pomme...

Je suppose qu'il faille à nouveau te noter puisque tu ne peux le faire...
Là, le texte est bon, mais il y a des répétitions: des 'et' dans la même phrase sans que cela ne soit nécessaire, ou plutôt, sans qu'il faille mettre l'un des deux, aussi quelques erreurs cons (t'as remplacé une virgule par un point d'exclamation, t'as confondu un infinitif et un verbe conjugué...) et le fait que tu ne coupais pas tes phrases assez souvent (hors paroles, ça, c'est comme tu veux, on peut pas te juger là-dessus).
Au fait, on dirait que t'as oublié: après un point, il y a un espace...
Et moi, dans tout ce bordel, j'ai oublié de foutre la note que j'avais voulu te mettre... 39XP, c'est court, après tout...

Cela faisait maintenant 4 ans que je suivais cette nouvelle philosophie de la vie. A 12 ans j'étais devenu un très bon mage noir et j'étais au prémisse de la nécromancie. Mon instructeur avait un contrat sur la tête du nouveau chef des tisserands à Génésis et m'appris que c'était lui qui avait commandité le meurtre de mon père car il restait dans son ombre et l'accusait de sa non réussite. Il me proposa de réaliser ce contact et j'ai accepté sans hésitation. J'ai ainsi réalisé froidement mon premier meurtre, me vengeant de cet homme que je haïssais sans le connaitre il m'ouvrit la porte en robe de chambre et reçu le sort létal sans même voir sa fin arriver. Je me dis à ce moment que mon père n'aurai jamais voulu cela. J'avais prolongé une violence inutile sur un homme désarmé, je m'étais comporté comme mon tuteur en brisant la vie de cette famille exactement comme il avait brisé la mienne je rentrai au manoir de Faust XXIII le contrat accomplit mais les larmes aux yeux, ressentant a nouveau la morsure glaciale du remord...

A 15 ans je maitrisais parfaitement la nécromancie même si ma puissance brute n'était pas celle de mon tuteur. Il m'emmena avec lui pour un contact comme il n'en avait jamais eue: L'extermination de tout un village commandité par le village voisin. La cause en était un conflit centenaire pour la possession des terres agricoles entre les deux villages. La terre en question était devenue le lieux des affrontements des deux villages toute plantation d'un village était brulé par l'autre, de nombreux guerriers s'étaient entre-tué.

En quoi ces villages sont-ils différents? Pourquoi ne fusionnent-ils par tout simplement?
-Ils sont différents car l'un s'est donné les moyens de triompher en nous engageant, tout un village cotisant ça fait une belle somme...Ils ne fusionne pas pour ne pas être trahis, il sera fou de s'associer à un ennemis sans être sur que l'on sera le premier à le poignarder dans le dos. Exhumes les corps

La pleine lune éclairait ces terres calcinées et imprégnées de sang, des cadavres de combattant que l'on avait pas pus enterrer dignement reposait si pied sous terre.

Par tout ce dont la chair ce déchire et succombe
j'appelle les pouvoirs enfouis des catacombes
Fossile, chair et os, trace des vie éteintes
n'ayant pour exister que ces tristes empreinte
On s'y trompe souvent, tant la nature est belle
Tout les être son promis au destin universel

Réagissant à mon incantation les corps remontèrent à la surface emplissant l'air de l'odeur de la mort. Les corps qui jonchait était en divers état et certain étaient même des squelettes mais la plupart avaient encore leurs armes en mains. J'étais a bout de force mais cela n'avait pas d'importance, j'avais accomplit ma partis du travail.

-Tel un nageur venant de profond de son plonge,
Tous sortent de la mort comme l'on sort d'un songe.
Leur corps se laissent aller à leur folie guerrière
comme pour expier la faiblesse de leur mort
mais quelle qu'est été leurs alégences première
C'est à MES ennemis qu'il régleront leur sort

Les morts se levèrent et se dirigèrent vers le village cible. Homme, femme, enfants, nourrissons furent tués durant leur sommeil par des êtres dénué d'âme, certain réveillé par l'odeur tentèrent de lutter contre cette armée des morts sans la moindre chance. Nous vîmes une mère s'enfuir son bébé dans les bras et sont maris tentant de ralentir les morts jusqu'à son dernier souffle. Ce furent les seuls survivants.